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Sentiments nationaux	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Positifs (Obligations civiques positives).
		Négatifs (Trahison, guerre civile, etc.).
Sentiments domestiques	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Positifs	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Paternels et filiaux
				Conjugaux.
				De parenté en général
		Négatifs. — Les mêmes.
Sentiments relatifs aux rapports sexuels.	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Unions prohibées	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Inceste
				Sodomie
				Mésalliances
		Prostitution
		Pudeur publique.
		Pudeur des mineurs.
Sentiments relatifs au travail.	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Mendicité.
		Vagabondage.
		Ivresse^[1].
		Réglementation pénale du travail
Sentiments traditionnels divers.	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Relatifs à certains usages professionnels.
		— à la sépulture.
		— à la nourriture.
		— au costume.
		— au cérémonial.
		— à des usages de toutes sortes.
Sentiments relatifs à l’organe de la conscience commune.	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	En tant qu’ils sont offensés directement.	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Lèse-majesté.
				Complots contre le pouvoir légitime.
				Outrages, violences contre l’autorité, — Rébellion.
		Indirectement.^[2]	$\left\{{\begin{matrix}\ \\\ \\\ \\\ \\\ \\\ \end{matrix}}\right.$	Empiètements des particuliers sur les fonctions publiques, — Usurpations, — Faux publics.
				Forfaitures des fonctionnaires et diverses fautes professionnelles.
				Fraudes au détriment de l’État.
				Désobéissances de toutes sortes ( contraventions administratives).

↑ Il est probable que d’autres mobiles interviennent dans notre réprobation de l’ivresse, notamment le dégoût qu’inspire l’état de dégradation où se trouve naturellement l’homme ivre.
↑ Nous rangeons sous cette rubrique les actes qui doivent leur caractère criminel au pouvoir de réaction propre à l’organe de la conscience commune, du moins en partie. Une séparation exacte entre ces deux sous-classes est d’ailleurs bien difficile à faire.

[1] Il est probable que d’autres mobiles interviennent dans notre réprobation de l’ivresse, notamment le dégoût qu’inspire l’état de dégradation où se trouve naturellement l’homme ivre.

[2] Nous rangeons sous cette rubrique les actes qui doivent leur caractère criminel au pouvoir de réaction propre à l’organe de la conscience commune, du moins en partie. Une séparation exacte entre ces deux sous-classes est d’ailleurs bien difficile à faire.

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[2]