Page:Ernault - Gwerziou Barz ar Gouet.djvu/49

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Le garçon du puits, que tu croyais t’inviter à descendre pour jouer, n’était rien qu’une ombre trompeuse de toi-même, qui t’aurait noyé dans l’eau !

Par la grâce de Dieu, ma faible voix est venue à toi juste à temps pour te retenir sur le bord de l’abîme… quand j’y pense, je frémis d’épouvante,