Page:Ernault - Gwerziou Barz ar Gouet.djvu/55

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Le cœur battait fort, au pauvre petit Alain, quand il arriva chez lui, épuisé et hors d’haleine. Le fantôme n’osa pas le suivre jusque-là, et notre petit homme se cacha au fond du coin de bon lit.

Comment eût-il pu s’empêcher de parler du fantôme