Page:Féval - Le Bossu (1857) vol 1-3.djvu/153

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


VIII

— Bataille. —


Ils étaient vingt pour le moins : le page n’avait point menti. Il y avait là, non seulement des contrebandiers du Mialhat, mais une demi douzaine de bandouliers, récoltés dans la vallée.

C’était pour cela que l’attaque venait si tard.

M. de Peyrolles avait rencontré les estafiers en embuscades. À la vue de Saldagne, il s’était grandement étonné.

— Pourquoi n’es-tu pas à ton poste ? lui demanda-t-il.