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VIII

— La veuve de Nevers. —


Certes, on ne peut pas dire que ce noble hôtel de Lorraine fût prédestiné à devenir un tripot d’agioteurs ; cependant, il faut bien avouer qu’il était admirablement situé et disposé pour cela. Les trois faces du jardin, longeant les rues Quincampoix, Saint-Denis et Aubry-le-Boucher, fournissaient trois entrées précieuses. La première surtout valait en or le pesant des pierres de taille de son portail tout neuf.

Ce champ de foire n’était-il pas bien plus commode que la rue Quincampoix elle-même,