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les portraits de famille.

êtes, d’ailleurs, suivant votre promesse, tenu de prendre ma place. » Elle se leva aussitôt, et força Ferdinand, en badinant, de changer de place avec elle.

« Cette histoire, dit-il, ressembleroit un peu trop à celle que vous venez de raconter. Permettez-moi donc..... »

« Cela ne fait rien, » répliqua la maîtresse de la maison. « On ne se rassasie jamais de récits de ce genre ; et autant j’ai de répugnance à regarder ces funestes portraits, autant j’ai de plaisir à entendre raconter qu’ils ont remué les pieds ou les yeux. »

« Mais sérieusement, répondit Ferdinand, qui eût bien voulu rétracter sa promesse, « mon histoire est trop hor-