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la tête de mort.

manque-t-il quelquefois. D’ailleurs, je sais que le Paillasse de la troupe, homme dépourvu de tout sentiment, aspire, depuis long-temps, à en devenir le chef. Il s’est, je l’ai appris, occupé, d’une manière ou d’une autre, de me faire disparoître de ce monde. Il me semble donc que je n’ai pas fait une démarche absolument précipitée, en lui cédant mes droits pour une mince somme d’argent. Je ne regrette que les pauvres enfans. Je les aurois volontiers achetés, pour les arracher à une carrière aussi malheureuse ; mais on n’a voulu les céder à aucun prix. Je n’ai qu’une consolation, c’est que les mauvais traitemens qu’ils éprouveront leur feront probablement prendre la fuite, et embrasser un meilleur genre de vie. »

« Et vous, que comptez-vous faire ? »