Vous vous engagez, n’est-ce pas, comme par le passé, à ne faire que des petites recherches innocentes, qui ne troublent rien ?
Oui ! oui ! N’ayez pas peur ! Nous le jurons.
Cela suffit ! — Venez maintenant, vous, talents honnêtes qui charmez nos soirées de famille. L’art étant fait pour récréer, vous nous récréez. Allons !
en faisant :
Cocorico !
Encore un peu d’excentricité dans la forme ; mais les intentions sont si pures !
pour réclamer l’attention.
Un dernier mot, Messieurs, à la Jeunesse, au printemps de la vie.
avec leurs accordéons sous le bras.
Approchez, Éphèbes, approchez ! Jeunes gens, notre espoir, vous allez entrer dans l’âge des passions ! Prenez garde, c’est comme si vous pénétriez dans une poudrière ; la moindre étincelle, tombant sur vos cerveaux, peut faire sauter l’édifice ! On a eu soin d’écarter de vous toutes les torches, je le sais : n’importe ! Il n’en faut pas moins se défier des ardeurs du sang et de l’imagination ; elles ne produisent que des crimes et des folies ! ou plutôt, utilisez vos vices !