Pourquoi ?
Ni même prudent ; car on dit que vous lui avez autrefois emprunté…
On le dit ? Eh bien…
Il faudrait d’abord lui rendre la somme.
Pour cela, il faudrait d’abord que vous me rendiez ce qui m’est dû, vous ! Soyons justes !
Ah ! devant les preuves de mon dévouement, et à l’instant même où je vous gratifie d’un excellent conseil, voilà ce que vous imaginez ! Mais, sans moi, mon bonhomme, jamais de la vie vous ne seriez élu ; je m’éreinte, bien que je n’aie aucun intérêt…
Qui sait ? Ou plutôt je n’y comprends goutte ; tour à tour, vous me poussez, vous m’arrêtez ! Ce que je dois à Rousselin ? les autres aussi feront des réclamations ! On n’est pas inépuisable. Il faudrait pourtant que je rentre dans mes avances ! Et la note du café qui va être terrible, — car ces farceurs-là boivent, boivent ! — Si vous croyez que je n’y pense pas ! C’est un gouffre qu’une candidature ! (À Hombourg, qui entre.) Hombourg ! quoi encore ?
Le bourgeois est-il là ?