Page:Floupette - Les Déliquescences, 1885.djvu/51

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des soleils perdus. Oh ! combien suave et câlin, ce : bonsoir, m’en vais, l’ultime farewel de tout l’être en déliquescence, fondu, subtilisé, vaporisé en la caresse infinie des choses ! Combien épuisé cet Angelus de Minuit aux désolées tintinnabulances, combien adorable cette mort de tout !

Et maintenant, angoissé lecteur, voici s’ouvrir la maison de miséricorde, le refuge dernier, la basilique parfumée d’ylang-ylang et d’opoponax, le mauvais lieu saturé d’encens.

Avance, frère ; fais tes dévotions.