Page:Gasquet - Les Chants séculaires, 1903.djvu/179

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et comme eux notre amour, Delphique,
Ne connaîtra jamais d’hiver.
Les grands pins jettent sur la mer
Une ombre tiède et pacifique.