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VERS LES SAULES

Le théâtre représente un paysage dans les environs de Paris. Au fond, entre les branches des grands arbres et à travers les buissons de rosiers, on entrevoit une rivière. À droite, un cabaret de village, riant à l’œil. À gauche, un banc de gazon sous une tonnelle de plantes grimpantes.



Scène PREMIÈRE.


HENRI, BLONDINE.


Henri, entrant.

Ramasse qui voudra mon cœur, je n’en veux plus !

Blondine, paraissant

Je le prends.

Henri la regarde, surpris. Elle continue :

Je le prends.Vous avez des trésors superflus ?