Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome X.djvu/216

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perdre soi-même, quand il fallut renoncer à marcher sous sa conduite et à jouir d’une société joyeuse et sage.

Arrêtons-nous ici, pour ne pas nous plonger dans la méditation des grands événements qui nous menacèrent douze années encore, avant que les mêmes flots vinssent nous inonder, sinon nous engloutir.



FIN DU SIÉGE DE MAYENCE.