Page:Gustave Flaubert - Œuvres de jeunesse, III.djvu/320

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Jules est parti hier pour l’Orient, emportant avec lui deux paires de souliers qu’il veut user sur le Liban, et un Homère qu’il lira au bord de l’Hellespont.

S’il passe par Alger, il y rencontrera Bernardi, établi directeur d’une troupe de vaudeville et amusant les Arabes civilisés avec les couplets de M. Scribe et la prose de MM. Melesville et Bayard.

Ici l’auteur passe son habit noir et salue la compagnie.

Nuit du 7 janvier 1845, une heure du matin.

FIN.