Page:Hugo Œuvres complètes tome 5.djvu/57

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M. de Pienne.

J’ai lu dans votre écrit du siège de Peschière,
Ces vers sur Triboulet : « Fou de tête écorné,
Aussi sage à trente ans que le jour qu’il est né… — »
Vous êtes un grand sot !

Marot.

Vous êtes un grand sot ! Que Cupido me damne
Si je vous comprends !

M. de Pienne.

Si je vous comprends ! Soit.

À M. de Gordes.

Si je vous comprends ! Soit.Monsieur de Simiane,

À M. de Pardaillan.

Monsieur de Pardaillan,

M. de Gordes, M. de Pardaillan, Marot et M. de Cossé, qui est venu se joindre au groupe, font cercle autour du duc.

Monsieur de Pardaillan, Devinez, s’il vous plaît.
Une chose inouïe arrive à Triboulet.

M. de Pardaillan.

Il est devenu droit ?

M. de Cossé.

Il est devenu droit ? On l’a fait connétable ?

Marot.

On l’a servi tout cuit par hasard sur la table ?