Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Choses vues, tome II.djvu/159

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J’ai dit au prince de Joinville :

— Il y a des abîmes entre nous. Nous sommes séparés et nous resterons séparés ; mais je vous serre la main avec bonheur.

Et nous nous sommes pressé les mains avec effusion.

Ce sont de vaillantes âmes et qui portent noblement l’exil.