Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome II.djvu/249

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

A l’heure où sur ses pas on ne rencontre plus
Que le passant tardif aux yeux irrésolus
Et la ronde de nuit, comme un rêve apparue,
Qui va tâtant dans l’ombre à tous les coins de rue !

4 septembre 1835.