Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/343

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4 I I I . Val;. · ·`. I i ·—·· AC'1'E_II, PARIIE L · ,· _ 97_ if DON A1QPl·IONSD." `, A Y ' i ‘ Vous voyez bien ·que votm altesse est inal `_ . __] instmiite. Laissezqmoi l’interroger. - Capitaine l ji Gennagdi éters-vous celui qui dp commis le crime? I DONA LUCREZIA, égiérdue. 'U ‘ V' 'On étouife ici! De l’airl de Pair! J’ai besoirfdoj ‘ = ·J respirer un pen! A ‘·= · Elle va a une femme, cum passant h coté de Gennaro, elle luiditf it- · · has et rupldementx · l ` —-— Dis que ce n’est· ps toi ! DON ALPHONSE, h part. A Elle lui a parlé `bas, ·

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· ,G§NNARO. ‘Duc· Alphonse , les pecheurs de Calabre qui m’ont élevé, et qui m’ont trempé tout jeune dans ` la mer pour me rendre `fort et hardi , m"ont en- ` sqigné cette maxime, avec laquelle on peut risquer souvent sq vie, jamais son honneur : —— Fais ce , que tu dis, dis ce que tu fais. — Duc Alphonse , je suis l’homme que vous cherchez. r V I ` an 5 _ U _ ‘ 4