Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/397

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· q 1 u scm nn. wsa cuimnu. I U _ ’ C’est tristeet commun, Un homme  » ' épouse une femme en ruins. Chose qui se voit `_ tous les jours. f ll •e metiinaager. De tnnpsentanp, quelques-um•e léveutcb ulieetviennmteausunrledevantdehscéunepandantqncfmgie · umm¢xssxN¤cmm,¤u•¤¤,m»¤nmc¤¤¤¤m. ,, _ Monsieur-le comte Orsini, vous avez le urysmi ‘ ·_ qui me parait bien triste. _. ,. . — _ mum. ' 11 est toujours ainsi, madame. Il faut que vous me pardonniez de l’avoir amené sans que vous lui eussiez fait la gréee de Yinviter. C’est mon frére d’armes. Il m’a sauvé la vie A l’assaut tie Rimini. J ’ai regu A Pattaque du pont de Vicence un coup d’épée quilui était destiné. Nous ne nous sépurons jamais. Nous vivons ensemble. Un bohémien nous a prédit que nous mourrions le méme jour. LA mscnom, rianl. Vous a~t-il dit si ce serait le soir ou le malin? mmio. ll nous a dit que ce serait le matin; · Dagmzsu by Google