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III
LA PRÉVOYANCE DE L’ABNÉGATION
Dix heures et demie sonnaient comme ils entraient dans l’église.
À cause de l’heure, et aussi à cause de la solitude de la ville ce jour-là, l’église était vide.
Au fond pourtant, près de la table qui, dans les églises réformées, remplace l’autel, il y avait trois personnes ; c’étaient le doyen et son évangéliste ; plus le registraire. Le doyen, qui était le révérend Jaquemin Hérode, était assis ; l’évangéliste et le registraire étaient debout.