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III

POUR TA FEMME, QUAND TU TE MARIERAS


Revenons à Gilliatt.

On contait dans le pays qu’une femme, qui avait avec elle un petit enfant, était venue vers la fin de la Révolution habiter Guernesey. Elle était anglaise, à moins qu’elle ne fût française. Elle avait un nom quelconque dont la prononciation guernesiaise et l’orthographe paysanne avaient fait Gilliatt. Elle vivait seule avec cet enfant qui était pour elle, selon les uns un neveu, selon les autres un fils, selon