Page:Hugo - Les Travailleurs de la mer Tome I (1891).djvu/407

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


II

BEAUCOUP D’ÉTONNEMENT SUR LA CÔTE OUEST


La nuit qui suivit ce jour-là devait être, à partir de dix heures du soir, une nuit de lune. Cependant, quelle que fût la bonne apparence de la nuit, du vent et de la mer, aucun pêcheur ne comptait sortir ni de la Hougue La Perre, ni du Bourdeaux, ni de Houmet Benet, ni du Platon, ni de Port Grat, ni de la baie Vason, ni de Perelle bay, ni de Pezeris, ni du Tielles, ni de la baie des Saints, ni de Petit Bô, ni d’aucun port ou portelet de Guernesey. Et cela était tout simple, le coq avait chanté à midi.