Page:Hugo - Les Travailleurs de la mer Tome I (1891).djvu/87

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

vers vers ces dédales de flots et d’écueils par le phare lenticulaire et la light-house électrique, on songe, avec le bien-être de conscience inhérent au progrès constaté, à ces vieux marins furtifs et farouches, naviguant jadis, en des chaloupes sans boussoles, sur les vagues noires lividement éclairées de loin en loin, de promontoire en promontoire, par ces antiques brasiers à frissons de flammes, que tourmentaient dans des cages de fer les immenses vents des profondeurs.