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LE QUARTIER SAINT-SÉVERIN

dans la plus douloureuses des crises, Elle est unique. Là, dans le petit coin si intime de son chevet, près de cet-arbre dont le tronc tourne en spirale sur lui-même, éclate lorsqu’il touche la voûte et retombe en une pluie pétrifiée de branches, Elle se révèle très pacifiante et très douce.

Les étudiants l’invoquent pour le succès de leurs examens ; mais je crois que sa présence se fait surtout sentir aux pécheurs tourmentés par la fièvre du mal, aux pécheurs dont l’âme est à vif. Elle panse et lénifie, tout en souriant, les plaies. Elle est la Madone qui cicatrise, Celle qui désaltère.