Page:Jammes - Le Deuil des primevères, 1920.djvu/83

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répondis-je. Et nos mots n’étaient plus si pareils.
Un jour enfin tu dis : Ô ami, que je t’aime…

(C’était par un déclin pompeux du vaste Automne.)
Et je te répondis : Répète-moi… encore…