Page:Kipling - Le Livre de la jungle, illustré par de Becque.djvu/236

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arrivés dans le cercle des troncs d’arbres, ils se mouvaient comme des fantômes.

Il y avait là des mâles sauvages aux défenses blanches, avec des feuilles mortes, des noix et des branchettes restées aux plis de leurs cous et de leurs oreilles, de grasses femelles nonchalantes avec leurs éléphanteaux d’un noir rosé, hauts de trois ou quatre pieds à peine, qui ne