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Scène iii. — Aussitôt apparaissent de nouveau les motifs de l’Impatience, du Chant de Mort, du Jour, puis deux autres thèmes, qui n’auront pas d’emploi ailleurs qu’en cette fin d’acte ; d’abord celui-ci, qui, très en dehors dans l’orchestre, souligne la peine profonde qu’éprouve le roi Marke en constatant la trahison de Tristan : c’est Le Chagrin de Marke,
LE CHAGRIN DE MARKE
[partition à transcrire]
[partition à transcrire]
(Le sentiment qui domine chez
l’excellent roi Marke, ce n’est pas
la colère, ce n’est pas la jalousie,
ce nest pas le désir de vengeance,
ni la haine : c’est une vive affliction, un profond chagrin : comme
c’est bien exprimé !)
puis, peu après, cet autre, qui caractérise sa
Consternation et peut-être aussi celle de Tristan :