Page:Lavoisier - Opuscules physiques et chimiques.djvu/379

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DU PHOSPHOREè ^-Jp-.

près égale à celle éprouvée dans les Expérlenceè précédentes ; j'ai fait alors tomber le foyer du verre ardent fur l'eau contenue dans la capsule «  & je l'ai fait bouillir : la vapeur s'efl bientôt répandue dans la capacité de la cloche ; elle s'eft mémeraflembléeen gouttes le long de fes parois^ niais la hauteur du mercure n'a ni augmenté ni diminué, c'eft- à-dire, que le volume de l'air eft reflé très-exaclement le même,

EXPÉRIENCE VIIL

^Jfcjzrjtj à l\vde d'une atmofphèrc d'eau réduite ed

vapturs j on peut brider une plus grande ouaiitité

de phofphore dans une quantité donnée d^air.

Préparation de l'Expérience.

J'ai employé dans cette Expérience les deuîé capsules d'agathe em.ployées dans les précéden- tes : j'ai mis daiH l'une un peu d'eau diftillée ; dans l'autre, i8 grains de phofpKore ; j'ai fait bouillir l'eau à l'aide du verre ardent ; enfin , j'ai allumé le phofphore^ '

Effet.

Il ne s'en eft brûlé que 738 grains ; apréâ -^uoi la combuûion a celle , & il ne m'a pas été

Yij

�� �