Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/208

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physique, il prit deux pilules riches en azote et y ajouta même, afin d’éclaircir son cerveau, une tasse de café (en pilule).

Il se sentit rasséréné, alerte ! et éprouva cette sensation qu’il était vraiment trop vivant pour mourir. Il savait enfin, qu’en dernier ressort, il lui restait une suprême ressource : l’injection sous-cutanée du vrilium, qui, tant que les organes étaient intacts, rendait à l’être toute sa vitalité.

La confiance en soi est la première condition du succès.

Dans le très petit espace où Athel pouvait se mouvoir, il examina un à un tous les divers mécanismes de sa machine, interrompit les contacts qui pouvaient encore développer l’action du vrilium. Il ne laissa rien au hasard et comme un général qui a inspecté toutes les parties de son champ de bataille, il se décida à agir.

Ce fut alors que, levant les yeux pour la première fois jusqu’au plafond du kiosque, il s’aperçut que la partie supérieure était soulevée. N’avait-il pas été pratiqué en effet une sorte d’arrachement du casque prussien qui le couronnait. Dans la chute, ce couvercle — il