Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/223

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de remonter dans le puits qui d’ailleurs doit être obstrué. Pour une pareille ascension, nous ne disposons d’aucun moyen, et le vrilium lui-même ne peut pas nous être d’utile secours.

« Conclusion, il nous faut trouver une autre issue.

« Nous sommes parés pour certaines éventualités, contre l’obscurité, contre la faim et contre des obstacles matériels que le vrilium peut renverser. Nous nous fraierons notre chemin, et, la science aidant, nous parviendrons peut-être à remonter à la surface de la terre…

— Oh ! Paris ! les boulevards ! gémit comiquement Labergère. Et un bock… bien tiré !

— Enfin, comme vous, Labergère, ne pouvez venir à nous, il faut que nous descendions jusqu’à vous, et c’est de l’endroit où vous êtes que nous commencerons notre exploration… Monsieur Bobby, avez-vous quelque objection à présenter contre ce plan ?

— Aucune ! fit Bobby, bombant le torse. Avec le vrilium, j’irais au bout du monde !

— Par malheur, pour le moment, le monde pour nous n’est pas très spacieux et le bout n’en est pas éloigné… Agissons. Monsieur Bobby, ne bougez pas. Je rentre dans le vri-