Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/225

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— J’ai Bobby dans mes bras ! cria Labergère. Mon cœur palpite. Ah ça, et vous, comment diable allez-vous nous rejoindre…

— Comme ceci ! dit Sir Athel, qui, se suspendant par les mains au rebord de la voûte, se laissa tomber, souple et habile, et se trouva sur pied.

Bien vite, il ralluma la lampe un instant éteinte.

— Prenez vite chacun une pilule Berthelot, dit-il. Il nous faut toute notre force.

— Ce n’est pas que ce soit mauvais, dit Labergère, mâchonnant l’aliment chimique, mais ça ne vaut pas un bifteck…

— Nous n’en sommes pas à faire de la gourmandise. La caisse, monsieur Bobby !

Il l’ouvrit et en tira deux tiges qu’il remit à ses compagnons, après en avoir fait jaillir le fluide lumineux.

— Inspectons les lieux, dit-il.

Marchant l’un derrière l’autre, Sir Athel en avant, ils se mirent à explorer l’énorme poche creuse dans laquelle ils étaient emprisonnés.

Et soudain Sir Athel poussa un cri de joie.

— Il y a une issue…

C’est-à-dire qu’il venait de découvrir une