Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
N.
H.
Vous mentez, ô fleur nue
De mes lèvres !
J’attends une chose inconnue
Ou peut-être, ignorant le mystère et vos cris,
Jetez-vous les sanglots suprêmes et meurtris
D’une enfance sentant parmi les rêveries
Se séparer enfin ses froides pierreries.