Page:Les poésies de Stéphane Mallarmé.djvu/52

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N.

Et… Maintenant ?

H.

Et… Maintenant ? Adieu.
Et… Maintenant ? Adieu. Vous mentez, ô fleur nue
De mes lèvres !
De mes lèvres ! J’attends une chose inconnue
Ou peut-être, ignorant le mystère et vos cris,
Jetez-vous les sanglots suprêmes et meurtris
D’une enfance sentant parmi les rêveries
Se séparer enfin ses froides pierreries.