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LE MIROIR DES JOURS


Car vous me feriez grand, courageux, noble et fort
Par la sainte vertu de votre amour insigne,
Et de toute beauté vous me rendriez digne,
Et de toute louange encor !

Femme pour qui j’écris ces mots de hardiesse,
Le cœur tremblant et prêt à demander pardon,
Si vous me dédaignez, ne me dites pas : Non !
Qui donc n’ose trop par tendresse ?