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LE MIROIR DES JOURS


Je ne puis même soulever
Le couvercle qui l’emprisonne !…
Oh ! lui crier de se lever
Tout droit, dans mon cœur qui frissonne !

Et ce rêve mort à demi
Dont je redoute la blessure,
À peine s’il est rendormi
Qu’il se réveille et me torture !