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que les simulacres émanent réellement des choses elles-mêmes, v. 237-275. — Théorie des miroirs, v. 276-330. — Phénomènes de la vue. Pourquoi, d’un lieu obscur, nous voyons les objets éclairés ; et pourquoi, d’un endroit éclairé, nous ne voyons pas les objets plongés dans l’obscurité, v. 331-359. — Effets du lointain sur les perceptions de la vue, v. 360-370. — De l’ombre qui suit les corps éclairés, v. 371-386. — Exemples des prétendues erreurs de la vue, v. 387-480. — Certitude des sens, v. 481-538. — L’ouïe et la voix, l’écho, v. 539-636. — La saveur et le goût, l’odeur et l’odorat, v. 637-745. — Comment les simulacres atteignent la substance de l’esprit, v. 746-756. — Visions et fantasmagories de la veille et du sommeil : les monstres, les dieux, v. 757-842. — L’organe est antérieur à sa fonction, v. 843-862. —Au contraire les inventions de l’homme sont nées du besoin et de la réflexion ; seules elles ont des causes finales, v. 863-877. — Comment les animaux sont amenés à choisir leurs aliments, v. 878-896. — Comment il se fait que le corps obéit à la volonté de l’âme, v. 897-926. — Le sommeil et les songes, v. 927-1054. — L’amour, ses caractères, ses tourments, ses illusions, v. 1065-1245. — De la stérilité et de la fécondité, v. 1255-1336.



Le monde, la terre et l’homme 
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SOMMAIRE — Hymne à Épicure, v. 1-80. — Le monde a commencé, il doit finir, v. 81-120. — Le monde n’est ni l’œuvre ni le séjour des dieux; les imperfections des choses, les souffrances de l’homme écartent l’hypothèse d’une intervention divine, v. 121-255. — La déperdition constante des diverses combinaisons élémentaires, compensée à grand-peine par des réparations constantes, mais qui peuvent manquer quelque jour, prouve la nature mortelle de l’univers, v. 256-442. —La naissance de l’univers et la coordination progressive de ses parties, v. 443-507. — Comment la terre demeure suspendue dans l’espace, v. 508-597. — De la nature et de la marche du soleil, de la lune et des astres, v. 598-799. — Apparition de la végétation et de la vie sur la terre, v. 800-871. — Élimination des formes mal douées : la concurrence et la loi de sélection, v. 872-912. — Il n’y eut jamais de Centaures, de Scyl-