Page:Luzel - Veillées bretonnes, Mauger, 1879.djvu/98

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Et alors ils se diront ceci : — agenouillons-nous et prions — pour le jeune homme qui repose ici, — et qui est mort pour avoir trop aimé ! »

Voilà un joli sône, dit Pipi Ar Morvan, et, bien que ce soit encore triste, nous irons à présent nous coucher avec des impressions moins sombres que celles que nous auraient laissées les récits qui ont rempli toute cette veillée.

Il était dix heures, et la veillée finit ainsi, un peu plus tard que d’ordinaire.



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