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26 THÉORIE DES EFFETS MECANIQUES

/.-, k’, relatifs aux orifices d’injection du réservoir et d’évacuation delà roue, sensiblement égaux entre eux et à l’unité ; et^ parmi les séries d’expériences entreprises par M. Morin, nous choisirons les deuxièmes des pages 36 et 4^ du mémoire cité, pour lesquelles la valeur du rapport -jdes hauteurs.

de ces orifices ne devait pas, elle-même, différer beaucoup de l’unité, si, comme il y a lieu de le supposer encore, la roue dont il s’agit portait une couronne intermédiaire, et qu’on néglige l’influence qui peut être due à la présence dé la division supérieure où l’eau ne devait pas être admise directement.

On aurait ainsi sensiblement, dans ces hypothèses,

O’

o ;

O

rik’a’d R’sin tp

nkae

I, i43, (i+/)

R’sinœ

O’R"

H-K+

O’^

1,5434

1^x4-^

R’"

i,1335, 1 — j^.
0,5i ;

ce qui donne :

Ier Pour l’expression générale du rapport variable des effets de la turbine dans le cas particulier qui nous occupe, ,

jj^ = — Q.x-- 2,35G7 l/j ;+0,5ix" ; 2° Pour la valeur maximum de ce rapport,

Spi= 0,8095 ;

3’ Enfin pour la valeur correspondante du nombre x, En consultant la deuxième partie du tableau de la page 36