Page:Mallarmé - Vers et prose 2e éd.djvu/24

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Et, peut-être, les mâts, invitant les orages
Sont-ils de ceux que le vent penche sur les naufrages
Perdus, sans mâts, sans mâts ni fertiles îlots…
Mais, ô mon cœur, entends le chant des matelots !