Page:Maupassant - Œuvres posthumes, I, OC, Conard, 1910.djvu/246

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
234
ŒUVRES POSTHUMES.

taire et triste, et une sorte de peur mystérieuse m’étreignait à me sentir auprès de ces êtres étranges, de cette morte revenue et de ce père aux gestes effrayants.

Je ne trouvais rien à dire. Je murmurai :

— Quelle horrible chose !…

Puis, après une minute, j’ajoutai :

— Si nous rentrions, il me semble qu’il fait frais.

Et nous retournâmes vers l’hôtel.


Le Tic a paru dans le Gaulois du lundi 14 juillet 1884.