Page:Maupassant - Le Rosier de Madame Husson.djvu/309

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J’étais joué. Cette fois je me trouvai ridicule et je résolus de me venger au moins de cette bonne impertinente.

Une heure plus tard, j’entrai avec précaution dans la petite chambre, d’où elle m’écoutait dormir, et je dévissai les verrous.

Elle arriva vers minuit à son poste d’observation. Je la suivis aussitôt. En m’apercevant, elle voulut crier ; mais je lui fermai la bouche avec