Page:Maurois - Les Silences du colonel Bramble (Grasset 1918).djvu/149

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Je fais voir à Parker le texte anglais qui définit si bien Parker lui-même, et nous parlons des livres qu’il aime. Je commets l’imprudence de citer Dickens.

— Je déteste Dickens, dit le major, je n’ai jamais pu comprendre ce qu’on y trouvait d’intéressant. Ce sont des histoires d’employés, de bohèmes ; je ne désire pas savoir comment ils vivent. Dans toute l’œuvre de Dickens, il n’y a pas un gentleman. Non, si vous voulez connaître le chef-d’œuvre du roman anglais, lisez Jorrocks.


13 janvier.

Un petit téléphoniste anglais qui est venu réparer notre appareil me dit : « Les téléphones, monsieur, c’est comme les femmes… Au fond, personne n’y comprend rien… un