Page:Menage - Origines de la langue, 1650.djvu/15

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EPISTRE.

miers~ & tous nos autres victix Efm.. uains~pourjûiure comme à la pif/e & decouurir les alterations que ttos mots D»t fouffirtes de temps en temps. Et ie ’lay qu’vne legere conrJoif/à~tce de la moindre partie de toutesceschojès. Ce:.. pendant:~ .A1oNSIEVR.:~ttpres attoir vert qu,elques eJJau, de mes Ori(,i~es~ vora m auez• aflèure que la publzcanon e1i pourroite./lrevti!c àupu/;/ic. Je fou ji fort au dejfottl de vous j & vf!flre hu- meur e./1 ji eloignee de tONte forte de - dif/imulation~que ce jèroit encore plur de prefomption a moy de m’imaginer que vrxu m’eu1/iez. voulu flatter, e~ cette rc?Jcontrc-: & tc me [e11s force de perdre tette mauut~ife opinion que j’a- uou conceue• de 1J!01t Ouurage. E12 tout tttJ ~ ie fou ohfigé tfauoiier qu’il y tt heaucoup de 6onnes cbojès ~ puia qu’il y c11 a beaucoup que i~ tie11s de- voU!