Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/50

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USSEUL
Maisnous sorlons de nos hatlier!; épais
Pour bénir tes noces austères;
Reçois le baiser de paix,
Jeune sœur des solitaires!
Le plus vieux de* ascùtc~ b.e
Hri~’ih) au front.
LES tnACONKSSES
0 toi qui sauras les pleurs bienheureux
Je te salue au seuil du bonheur ténébreux,
Uneprocessionde pcHt’ ti))e.<to-t’Uonnetlort du temple dei
Kuréide*et s’avancevûr~Brii~-f~.
t.ËS t’KT!TES cnBÈTtEttMKS
A te voir si blanche à l’autel,
Tremblante d’amour immortel,
0 sainte épouse,
J’ai rêvéd’angesHancés
Et je passe, les yeux baissés,
Presque jalouse.
UME SEUL6: ENFANT
Pourtant il est doux de songer
Que ta gloire s’apprête au fond des grands cieux calmes;
Je crois te suivre au mystique verger
Et je sens à mon front des caresses de p~’tmes
B<’t*<)!<
la btite au front.
LES NACO~tESSES
0 toi qui sauras les pleurs bienheureux
Je te salue au seuil du bonheur ténébreux.
Sur on t)tne du Ctttehitte,Britt~ est montéesur la plushaute
marchedxl’autel.