Page:Moréas - Autant en emporte le vent, 1893.djvu/18

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
8
AUTANT EN EMPORTE LE VENT


Tes yeux regarderont mes yeux,
Et vacillera tout ton être,
Comme le mythique rocher
Vacillait, dit-on, au toucher
De la fleur nommée asphodèle.