Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/178

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Et puisqu’il faut qu’enfin s’achève le printemps,
Quand la rouille viendra sur tes pétales lisses,
Abandonnant ton cœur à la pluie, aux autans,
Tu goûteras la mort, ô fleur, avec délices.