Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/46

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Triste jusqu’à la mort, en même temps joyeux,
Tout m’est concours heureux et sinistre présage ;
Sans cause l’allégresse a pleuré dans mes yeux,
Et le sombre destin sourit sur mon visage.