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Essai touchant les diverses éditions de « Félicia ».


Félicia ou mes Fredaines, avec l’épigraphe : La faute en est aux Dieux qui me firent si folle. Londres, 1775.

4 vol. in-18 ; 12 gravures libres par Borel (non signées)[1]. D’après ce qu’en dit Nerciat dans Monrose, cette édition aurait paru en Belgique.

Félicia ou mes Fredaines, etc., 1776.

4 vol. in-18 ; 12 gravures.

Félicia ou mes Fredaines, etc. À Londres, MDCCLXXVI. 4 tomes in-18 souvent reliés en 1 vol.

Félicia ou mes Fredaines, etc., Londres, 1778.

4 vol. in-18, 12 grav. Cette édition est celle que Nerciat donna à la Bibliothèque de Cassel, où il était sous-bibliothécaire. Et dans l’Extrait placé en tête de Monrose, l’auteur dit à propos de Félicia que « la moins mauvaise édition est celle en deux volumes, chacun de deux parties, et divisée en chapitres, qui est sortie en 1778 d’une presse d’Allemagne. On la reconnaît au titre gravé et placé dans un ovale de feuillage ». À Liège, qui était alors dans les Pays-Bas autrichiens, et aux dépens du libraire Desoer.

  1. Félicia a été traduit en anglais et publié dans le tome II de The Exguisite. A collection of tabs, histories and fancy essays, London, M. Smith. — S. d. (1842-1844), 3 vol. gr. in-4o, 45 numéros avec figures. Magazine hebdomadaire dont chaque numéro se vendait d’abord 4 pences et plus tard 6 pences. Les figures sont assez libres. La plupart des ouvrages qu’on y trouve sont traduits du français.