Page:Nerval - Aurélia, Lachenal & Ritter, 1985.djvu/84

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détruire les deux papiers que j’avais tirés la veille du coffret : la lettre, hélas ! que je relus en la mouillant de larmes, et le papier funèbre qui portait le cachet du cimetière. — Retrouver sa tombe maintenant ? me disais-je, mais c’est hier qu’il fallait y retourner, — et mon rêve fatal n’est que le reflet de ma fatale journée !