Page:Nietzsche - La Volonté de puissance, t. 2.djvu/292

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II. Où le christianisme n'a plus aucun droit aujourd'hui. Dans la politique...

146.- II. La foi ou les œuvres ? Luther. La Réforme. Le mépris de soi-même.

153.- II. Les trois éléments dans le christianisme, son progrès vers la démocratie considérée comme un christianisme plus naturel.

155.- II. Comment le christianisme put être patronné par les classes dominantes.

157.- I. Effet persistant de la providence chrétienne. Ce que l'on doit au christianisme.

163.- IV. Je ne supporte pas de compromission avec le christianisme.

175.- II. L'homme le plus moral est l'homme le plus puissant, le plus divin: toute la connaissance s'est appliquée à démontrer cela. Ce rapport avec la puissance a élevé la morale au-dessus de toutes les autres valeurs.

178.- III. Décompte général avec la morale: qu'est-ce qui veut par elle arriver à la puissance ?

180.- II. Que signifie l'idiosyncrasie morale, même chez un individu extraordinaire comme Pascal ?

181.- II. Les grandes falsifications sous le règne de la morale. Schéma.

182.- II. Falsification par principe de l'histoire, pour qu'elle présente une démonstration en faveur de la morale.