Page:Poe - Derniers Contes.djvu/141

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« Et si je meurs, je meurs
Pour toi ! — pour toi ! »


Douce créature ! Elle aussi s’est sacrifiée pour moi. Sans chien, sans nègre, sans tête, que reste-t-il maintenant à l’infortunée signora Psyché Zénobia ? Hélas — rien ! J’ai dit.